Journaliste à Gazette Universitaire, Myriam couvre l’actualité nationale. Elle croit en un journalisme engagé, proche des réalités sociales et des voix oubliées.
Voici ce qu'il faut retenir aujourd'hui: l'insécurité paralyse l'action humanitaire haïtienne tandis que démocraties régionales et mondiales basculent vers l'autoritarisme.
L'UEH ouvre les inscriptions du 26 juillet au 29 août 2025 pour l'admission 2025-2026 dans 22 facultés et écoles.
Voici ce qu'il faut retenir aujourd'hui: initiatives institutionnelles déconnectées de la réalité pendant que la violence contamine les derniers refuges.
Voici ce qu'il faut retenir aujourd'hui: multiplication des initiatives diplomatiques haïtiennes révélant la dépendance internationale croissante face à l'impasse sécuritaire.
ONU avertit effondrement total autorité État Port-au-Prince. Gangs contrôlent capitale, 4026 morts, 1,3 million déplacés. Action internationale urgente.
UNFPA alerte : 1,2 million femmes haïtiennes menacées violences sexuelles. Financement 8% sur 29 millions nécessaires. Crise atteint point critique.
Haïti : 1,3 million déplacés internes, record historique. Violence s'intensifie malgré mission internationale. HRW réclame transformation urgente MSS.
Treize étudiants universitaires morts, huit disparus après naufrage embarcation surchargée Cap-Haïtien. Vingt-sept personnes célébraient fin semestre. Six survivants.
Le gouvernement haïtien a signé un contrat avec le fondateur de Blackwater pour mener des opérations létales contre les groupes criminels qui terrorisent le pays.
Étude PAM révèle que transferts monétaires surpassent distributions vivres pour réduire insécurité alimentaire en Haïti selon données 7763 ménages.
Voici ce qu'il faut retenir aujourd'hui: constitution, violences sexuelles, police défaillante, massacre d'autodéfense, diplomatie américaine révèlent l'effondrement institutionnel haïtien complet.
Ce qu’il faut savoir aujourd’hui: Crise humanitaire pour 69 000 femmes, symposium OEA face aux critiques de Rubio, promesses électorales malgré 80% de Port-au-Prince contrôlée par des gangs.
Entre crise humanitaire haïtienne et tentatives diplomatiques américaines, la journée révèle des contrastes de gouvernance face aux crises systémiques.
Cette note explore la marginalité urbaine et la violence des gangs à Port-au-Prince à partir d’une enquête sociologique rigoureuse.
Investiture du nouveau conseil décanal de la FASCH à l'UEH malgré l'inaccessibilité des locaux sous contrôle de gangs armés.
Méthodologie participative intégrant terre, culture et genre pour évaluer et améliorer les systèmes alimentaires haïtiens au-delà des approches traditionnelles.
