Fils-Aimé annonce la reprise progressive du centre-ville lors d'un Conseil des ministres au Palais national avec montée du drapeau. Post Facebook :
Fils-Aimé rend hommage aux policiers tombés et remet des kits scolaires aux orphelins lors d'une cérémonie émouvante.
FEWS NET révèle 5,7 millions d'Haïtiens en insécurité alimentaire malgré les actions contre les gangs contrôlant 90% de Port-au-Prince.
Laurent Saint-Cyr lance un message d'espoir pour la rentrée scolaire, promettant que l'éducation reste une priorité nationale.
André Jonas Vladimir Paraison reçoit l'ambassadeur de l'OEA Cristobal Dupouy pour renforcer la coopération dans la modernisation policière.
Le Conseil de sécurité adopte la résolution 2793 transformant la MMAS en Force de suppression des gangs de 5 550 personnels.
L'État annonce une opération de "reconquête" du centre-ville avec l'enlèvement de 1 000 m³ de déchets et 200 carcasses.
La CARICOM soutient officiellement la résolution pour une Force de suppression des gangs de 5 500 membres en Haïti.
Le CPT rencontre une délégation ONU pour renforcer la sécurité électorale, Saint-Cyr conteste les restrictions aériennes de la FAA.
Le Premier ministre Fils-Aimé soutient officiellement la transformation de la MMAS en Force de répression des gangs devant l'ONU.
La FAA prolonge jusqu'en mars 2026 l'interdiction de vols vers Port-au-Prince après des attaques à l'arme à feu contre des avions commerciaux.
Les États-Unis proposent une force de 5 500 membres pour Haïti après l'échec de la mission kenyane limitée à 1 000 hommes.
Un rapport international documente 39 incidents de violence contre le système de santé haïtien, révélant l'effondrement des services médicaux.
Fils-Aimé présente des objectifs électoraux ambitieux lors de la réunion ONU/CARICOM/OEA malgré la crise sécuritaire critique en Haïti.
Le Premier ministre Fils-Aimé aux États-Unis pour une réunion tripartite ONU/CARICOM/OEA sur la stabilisation d'Haïti en crise.
La police haïtienne reprend le site TÉLÉCO de Kenscoff au gang Viv Ansanm malgré le contrôle de 90% de Port-au-Prince par les gangs.
