Achille Mbembe et la critique postcoloniale
Mbembe refuse l'étiquette postcoloniale mais dialogue avec cette critique ; ses concepts éclairent la violence contemporaine en Haïti.
Mbembe refuse l'étiquette postcoloniale mais dialogue avec cette critique ; ses concepts éclairent la violence contemporaine en Haïti.
L’essai explore la continuité du travail forcé en Haïti, de l’esclavage à la dette, révélant une colonialité persistante.
L'État haïtien déploie le bullshit comme discours vide pour simuler sa présence, masque son inefficacité délibérée et perpétue sa captation des ressources.
L’essai analyse 48 Rebecca comme une déconstruction des normes de masculinité en Haïti, explorant amour, vulnérabilité et réconciliation.
Le système judiciaire haïtien perpétue le colonialisme en imposant le français, excluant ainsi la majorité créolophone de l'accès à la justice.
Relecture critique de l'essai de Suzanne Comhaire-Sylvain, Vieillir à Port-au-Prince (1975)[1]
L’article analyse la participation communautaire à Badjo, opposant les visions des dirigeants et des dirigés dans la gestion du patrimoine et des festivités.